Andrée-Anne Lefebvre et Jean-Gabriel Roy - Vivre en Gaspésie

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La Gaspésie, tellement plus qu’un souvenir

Andrée-Anne Lefebvre et Jean-Gabriel Roy

Chaque fois qu’on était en vacances ici, on sentait que le poids sur nos épaules s’en allait. On voulait garder ça permanent, ne plus retomber dans le stress du train-train quotidien. 

Leurs souvenirs de vacances

  • « Sur la fin de nos vacances, Gabriel me dit : « Je veux te montrer une maison que je trouvais belle quand j’étais petit. C’est une maison dans mon village. » Quand on est arrivés, il y avait une pancarte à vendre. En la visitant, on s’est dit : « Ça y est, c’est ici qu’on va vivre le reste de notre vie. » »
  • « Chaque fois qu’on était en vacances ici, on sentait que le poids sur nos épaules s’en allait. On voulait garder ça permanent, ne plus retomber dans le stress du train-train quotidien : le trafic, le voyagement entre le travail et la garderie. »
  • « En voyage ici, je me suis rendu compte que ça faisait peut-être 10 ans que je n’avais pas vu les étoiles dans le ciel. On dormait en camping sauvage et on pouvait tout voir. Je ne me rendais pas compte qu’en ville la lumière obstruait les étoiles. »

Leurs raisons de vivre en Gaspésie

  • « On a la mer pratiquement dans notre cour. Notre terrain est immense. Mes enfants grandissent ici, plus près de la nature. Ils sont plus proches des valeurs qu’on voulait leur transmettre. »
  • « Mes motivations de déménager étaient principalement de réduire mon stress, au travail, mais aussi dans ma vie au quotidien. »
  • « C’est une grande maison antique, c’était un de mes rêves. C’était aussi abordable, respectant notre budget. Je ne pense pas qu’on aurait eu la possibilité d’acheter une maison comme ça en ville. On a de grands espaces, on a une plage pratiquement privée. On a beaucoup de chance. »

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